Sushis et couillasseries
Vendredi soir c’était la fête à Mâââârtin, nouveau chum-vieil ami-nouvel-amoureux de Angel. Alors soirée chez Angel, qui nous reçoit comme toujours dans sa super cabane remplie de bougies et de beaux objets – moi ça m’impressionne toujours, je suis nulle en la matière. Entre deux bouchées de sushis et un fou rire en entendant les chummeys risquer une toune de Lapointe sur le karaoké – remarquez, ça aussi je suis nulle en la matière -, je jette un œil sur les enfants de mes amis qui sont là, tous gentils, qui nous regardent faire les cons. Quand j’avais l’âge de ces petits cocos, entre 5 et 12 ans, j’avais l’impression que mes parents étaient vieux. Est-ce qu’à leur tour, ces enfants-là m’ont trouvée vieille? Je dis de plus en plus souvent que si je n’ai pas d’enfant, ce ne sera pas un grand drame. Mais ces cocos-là sont si beaux et si fins que l’idée d’en avoir des pareils réconforte. En autant qu’ils ne proposent pas de pipes à leurs petits amis de maternelle. Buhaaaa.
Événement cool à surveiller pour les prochaines années : le carnaval de Beauceville, dont la première édition se tient actuellement et qui est organisée entre autres par ma little sister Bibi. Samedi soir c’était le party sur l’île ronde, sur la rivière. Ma sœur, mon beauf Douing, la mascotte Boule de neige et moi avons fait un tour de hot-dog gonflable tiré par un ski-doo, admiré des feux d’artifices (conçus par le père de Steevidi, ce dernier faisant semblant de faire de la comptabilicrotte ce soir-là et donc n’ayant pu venir voir le super palmier de feux blancs de son papa et le cœur de feux tout rose) et nous sommes assis le steak sur des bottes de foin pour se faire chauffer la face devant un feu de camp digne des meilleures St-Jean. Bref un carnaval cool qui se poursuit. Bravo à Bibi qui travaille pas mal fort. Malgré que le brunch du dimanche était pas mangeable. Scusez madame.
Et pis tiens, avouons ma couillasserie : j’ai pas rappelé le mec, calisse. Il a essayé de me joindre plusieurs fois, dont au bureau, sans même que je lui ai refilé le numéro, ce qui me démontre un petit peu qu’il est zoulou… Je le sais, je suis cheapo. Mais je suis bien punie, tiens : c’est