Mon appart est une sacrée dompe
Ca fait plusieurs plusieurs plusieurs jours que j’ai pas fait de vrai ménage. À part passer un linge par-ci par-là, un petit coup de balayeuse pour avaler les plus gros mottons de cheveux que mon plaqueur a fini par brûler, une petite séance de vaisselle pour donner un look ambiant pas trop dégueulasse – étant donné que la porte d’entrée donne sur la cuisine -, on peut dire que mon splendide trois et demi fait dur et que ma mère serait pas fière de moi si elle verrait ça. Après la phrase « Si je me gâte pas, qui va le faire », il faudrait également que je banisse la phrase « La poussière va m’attendre, elle se sauvera pas ». J’ai même pas de raison pour justifier le bordel. Je suis bien occupée avec les scouts, avec les chummeys, j’ai des bonnes journées au boulot, soit. Mais j’ai pas d’enfants, pas de chum, pas de side-line bizarre en soirée pour expliquer mon manque de temps côté Madame Blancheville. Et comme si je voulais m’excuser à moi-même, je me lance parfois : « Coudonc, ma coloc est donc ben cochonne! ». Au moins je ne tolère pas les traîneries. Et j’imagine que lorsque le plancher changera de couleur, je vais donner un p’tit coup de cœur.
J’ai aussi très peu donné de temps à ce blogue, j’espère que vous êtes pas fâchés. Au pire, plaignez-vous, ça va augmenter mes stats de fréquentation. Héhé.
Juste pour revenir sur les scouts, cette fin de semaine je suis partie avec eux pour un camp de printemps à
Petit retour que je dois faire : il y a quelques temps nous sommes allés souligner la fête de Rockstar à l’Express du Sud, et on a eu une maudite belle soirée. Malgré une pizza au goût et à la facture douteuse, on a pu profiter d’une gang de Sexaphones qui nous ont bien fait chanter et des habituelles et savoureuses anecdotes du duo Jin-Louis, qui m’ont encore une fois fait pisser dessus. Rockstar était tellement jolie dans son petit top vert. En tout cas, moi, je la fiancerais drette là. Et j’aurais bien aimé prendre plus de nouvelles de Chantal Z… on se reprendra. D’ailleurs la saison du camping reprend dans pas long, hein.
Bon, excusez-moi, je vais aller voir si le poulet que j’ai brûlé, arrosé d’un restant de canne de lait de coco (la majorité du reste de la canne s’étant retrouvé par terre pendant que le détecteur de fumée hurlait et que je me pétais un orteil, à 22 h), se porte bien. Le four craque et ça augure pas bien.